Cousine de Waudru, elle lui succéda à la tête de la petite communauté fondée au VIIe siècle Elle fut invoquée par les avocats qui avaient des causes difficiles à plaider. On situe sa mort une vingtaine d’année après Waudru.
Durant l’ancien régime, ses reliques furent précieusement conservées dans une châsse d’argent posée sur un char triomphal. Elles furent déposées dans l’actuel reliquaire en février 1854, lors de la reconnaissance réalisée par Mgr. Gaspard-Joseph Labis.