Groupes

Cousine de Waudru, elle lui succéda à la tête de la petite communauté fondée au VIIe siècle Elle fut invoquée par les avocats qui avaient des causes difficiles à plaider. On situe sa mort une vingtaine d’année après Waudru.
Durant l’ancien régime, ses reliques furent précieusement conservées dans une châsse d’argent posée sur un char triomphal. Elles furent déposées dans l’actuel reliquaire en février 1854, lors de la reconnaissance réalisée par Mgr. Gaspard-Joseph Labis.

Jeunes flûtistes de 7 à 17 ans jouant un répertoire des XV et XVIe siècles. Ils sont issus des Jeunesses Musicales dont le premier objectif est de promouvoir l’éveil et l’initiation de tous les jeunes à toutes les musiques.

Patron des imprimeurs, nombreux à Mons dès 1580, on l’invoquait aussi pour être préservé de la foudre. Une confrérie de Saint-Donat, instituée le 28 mai 1752, a existé à Sainte-Elisabeth où se trouve toujours le buste reliquaire.

Evêque de Poitiers, Hilaire fut honoré à Mons dès l’an 1560 d’abord à Saint-Germain et ensuite dans la collégiale Sainte-Waudru. Les confrères de Saint-Hilaire devaient avoir un respect tout particulier pour la Sainte Trinité, dont saint Hilaire fut le grand défenseur.

Saint Macaire fut invoqué par les montois lors de l’épidémie de peste de 1616. Ses reliques avaient été offertes, pour conjurer le mal, par le chapitre saint Bavon de Gand. Les Chapitres montois (Sainte-Waudru et Saint-Germain), en remerciement, offrirent à Gand une châsse en argent, pour y déposer les restes de saint Macaire. Cette châsse y est toujours visible. Des habitants d’Obourg porte une statue-reliquaire du XVIIe siècle et un reliquaire de bois doré (fin XVIIe siècle). La région d’Obourg était réputée pour son tabac.

La Société Royale « les Pélissiers » a été créée en 1856 à Binche.
À l’époque, plusieurs Binchois, parents de fondateurs, combattaient au sein de la Légion Etrangère pendant la guerre de Crimée sous les ordres du général Aimable Pélissier. En l’honneur de ce dernier, ils décidèrent de nommer leur fanfare « les Pélissiers ». Cet ensemble de type fanfare traditionnelle est composé de cuivres, de percussions et d’un pupitre de saxophones.

Cette confrérie, établie en 1683, avait son siège dans la collégiale et, chaque année, se rendait en procession à Tongre-Notre-Dame — près de Chièvres — pour le pèlerinage annuel. Apparue au seigneur du lieu la nuit du 1 au 2 février 1081, une messe de minuit y est toujours célébrée suivie d’une procession.

Une confrérie fut créée par les Jésuites et une autre par les Dominicains, après le Concile de Trente. Chaque année, et ce jusqu’avant la deuxième guerre mondiale, une procession spécifique en l’honneur de Notre-Dame du Rosaire était organisée dans la Ville de Mons.

Une confrérie de Notre-Dame d’Alsemberg fut «érigée canoniquement en 1669 dans l’Eglise de Sainte-Waudru, à Mons». Chaque année, au mois d’août, la confrérie se rendait en pèlerinage à Alsemberg et offrait un coeur en argent pour la statue d’Alsemberg.

Ce groupe évoque Waudru, son époux Madelgaire, mieux connu sous le nom de saint Vincent de Soignies, et leurs quatre enfants : Aldetrude et Madelberte (qui furent abbesses de Maubeuge à la suite de leur tante Aldegonde), Landry et Dentelin. Ce dernier mourut en bas âge, quant à Landry, selon la légende, il succéda à son père à la tête du monastère de Soignies avant de devenir évêque de Metz.
Les différentes analyses au Carbone 14, pratiquées récemment sur les ossements, ont confirmé qu’ils dataient bien du VIIe siècle.

Vivant au VIIe siècle, Ghislain fut le conseiller de Waudru et d’Aldegonde. La châsse est constituée de plaques émaillées des XIIe – XIIIe siècle Le buste-reliquaire date de la fin du XVIIe siècle. Le saint est le plus souvent représenté accompagné de l’ourse et de l’aigle qui évoquent sa légende.

Il est invoqué pour la protection contre les maladies infantiles.

Elles évoquent le monastère fondé par la soeur de Waudru, au VIIe siècle à Maubeuge. Les chanoinesses précèdent un petit groupe évoquant sainte Aldegonde († 684 – fête le 30 janvier) et ses nièces qui lui succédèrent à la tête de monastère de Maubeuge.